dimanche 24 mai 2015

Famille Fontaine de Resbecq


"Parti au 1° de gueules au lion d'argent, qui est Wallincourt,
au 2° d'azur à la fontaine d'or, qui est Fontaine, le tout bordé d'or".
Par les Bureaux héraldiques Paris 1856.

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I - des origines de la famille Walincourt et Fontaine de Resbecq

(Wallencurt / Wallaincourt / Walincourt / Wallincourt)


 Origine : Cambrésis, Flandres, Artois.

Walincourt (depuis 1972, Walincourt-Selvigny) : "A 2 heures de Cambray, à l'embouchure de l'agréable forêt de Wallaincourt, qui doit être des plus révérez de tous ceux du Cambrésis pour avoir servi de berceau à Saint Aubert, le plus grand et le plus saint de tous les evesques (...)". Le Carpentier, 1664.

L' Histoire du haut-moyen-âge est complexe, l'historien n'ayant que peu de données factuelles sur cette époque, hormis des signatures de contrats et chartes envers des communautés religieuses énumérant des acteurs et témoins, parfois leur sceau, que l'on peut trouver dans des registres d'abbayes et autres institutions par des archivistes depuis des dizaines d'années, un travail ahurissant et sûrement passionnant.

La partie médiévale de la liste généalogique ci-après, est sujette à caution. Les chroniqueurs du moyen-âge étaient peu nombreux et les notions de temps, très différentes ; par exemple les années de naissance n'étaient pas tenues, seulement les dates de mort. Il est donc parfois difficile de situer telle ou telle personne à une date précise (hormis évènements spécifiques : contrats, tournoi, guerre, chronique de guerre...).
Elle vaut uniquement filiation (parents d'une même famille), non pas comme "arbre généalogique", qui ne commence réellement qu'avec les "Fontaine" installés à Lille, dont la filiation avec les Walincourt fut reconnue par la justice en 1769.

 Il est très difficile de trouver des éléments généalogiques de l'an mil et avant. Les preuves d'existence tiennent à des "chartes" (des contrats) conclus par de grands seigneurs de l'époque (évêques, comtes et "châtelains") devant témoins, dont les noms et parfois sceaux de ces Walincourt, et parfois des annotations de liens familiaux et de rôle social (très limité tout de même). Nous n'avons pas de récits en temps que tels, sauf illustration d'untel ou untelle dans l'Histoire, ce qui est loin de représenter la majorité de la population.

Une autre difficulté tient à  localisation géographique de Cambrai à l'époque, située en "Francie orientale" (futur royaume de Germanie et Saint-Empire romain Germanique)  par le partage de 843 puis de 880, en Lotharingie, à la frontière de la "Francie occidentale" (futur France) et théâtre de nombreux affrontement entre Francie occidentale, Francie orientale et comté de Flandres.
Aussi il est moins aisé de trouver des sources d'information sur cette époque en France, malgré les travaux de MM Bouly de Lesdain, Blin, Guiot, Le Maire, et récemment m. Ruffini-Ronzani qui a fait un travail considérable, que sur d'autres régions, intégrées bien avant en France.


1/ Préambule
Les origines même des premiers Walincourt connus sont perdues, nous savons cependant que la pairie du Cambraisis fut instituée entre 983 et 986 par l'empereur germanique, le Cambrésis étant terre impériale depuis 925 et Henri Ier l'Oiseleur, Walincourt en faisant parti.


Quand aux origines de cette famille des "seigneurs de Walincourt" avant 983, ne restent que des spéculations, rien de tangible. Le Carpentier au XVIIè siècle rapportera, de même que d'autres après, mais sans aucune source ni preuve, que les Walincourt sortiraient de la première famille d'Oisy-Crèvecoeur. plusieurs descendants des Walincourt (tels les Haucourt ou les Grébert à la fin du XIè et XIIè siècle) se disent descendants des deux. Mais ces données ne sont pas rapportées par les documents sur la famille d'Oisy, et Carpentier est souvent sujet à caution, malgré la masse de travail accomplie pur son époque.
De plus il suffit que le seigneur dOisy-Crèvecoeur nomma lun de ses hommes de confiance à la tête de la seigneurie de Walincourt, mais quaucune source ne soit restée.

La structure du pagi, le comté de Cambrésis, évolua jusqu'à ce que l'empereur, en 1007, fit de celui-ci une principauté ecchlésiastique (dont le suzerain était dorénavant le comte-évêque de Cambray-Arras) après avoir déjà donné le fisc de la cité à l'évêque dès 945 au détriment des comtes du Cambrésis qui se replièrent sur Valenciennes, perdant leur influence dans le "pagi" (pays), jusquà la mort du dernier comte, Arnoul en 1012 qui ne conservait que la marche de Valenciennes à cette date.

Les vicomtes ("châtelains") tenaient les forteresses autour et ont toujours cherché à saper l'influence des archevêques, profitant de l'abaissement puis la disparition des comtes, avec insuccès, mais en laissant des notes historiques précieuses (principalement ecchlésiatiques et néatives).
Ces châtelains ou vicomtes étaient souvent les "avoués" de cité, leur rôle pouvait aller de la simple gestion judiciaire, à la levée du fisc, la gestion militaire fonction de leur influence et implantation locale, à Cambrai, ils étaient déjà de très puissants seigneurs, alliés avec de puissantes familles, notamment par le mariage de filles de comtes (Namur, Vermandois par exemple pour les Oisy).
Ce mouvement fut en partie généralisé en francie a ces époques, comme on peut le lire dans les tomes 1 et 2 de "la nouvelle histoire de la France médiévale" que je vous invite à lire comme introduction et mise en contexte, même si la question du Cambrésis n'est qu'effleurée.

 Le premier châtelain de Cambrai recoonu était Othon /Eudes d'Oisy nommé "gouverneur de Cambray" par Charlemagne, sans autre précision. Nous les connaîtrons essentiellement comme "châtelains" de la ville, les comtes de Cambrai ayant leur propre lignée.
Il y aurait eut trois "Eudes". L'évêque alla ensuite chercher auprès du châtelain de Lens, Gauthier l'ancien, son fils, s'appelent lui-même Gauthier pour remplacer Jean d'Arras.
Je vous invite à faire une recherche sur cette puissante famille des Oisy et ses luttes contre l'évêque de Cambrai pour s'y imposer.



2/  Chez Le Carpentier (XVIIè siècle)

Le Carpentier parlant des origines des Oisy : "Les plus anciens seigneurs d'Oisy datent du IXè siècle. Ils nous sont connus principalement par l'union d'Eudes (ou Odon/Othon) avec l'héritière de Crèvecoeur, dame Elissende (dite) de Walincourt, petite-fille de Raoul de Crèvecoeur, et aurait apporté en dot à Othon/ Eudes d'Oisy les seigneuries de Crèvecoeur, Honnecourt, Wallincourt, Bussignies et une cinquantaine d'autres terres.
Selon ses propres dires, Eudes Ier d'Oisy (vers 930), rapportés par Gelic, descendait du "dux" Hatton/Eudes d'Aquitaine

concernant Eudes / Othon dAquitaine
La "charte d'Alaon", un faux du XVIIè siècle,  découvert par Joseph-François Rabanis, dit qu'il aurait été descendant du roi mérovingien Caribert II, bref roi d'Aquitaine de 628 à 632.
Il se pourrait que ceux-ci soient lié à Landry, maire du Palais de Clothaire II. Impossible de voir plus loin pour le moment, surtout avec une source falsifiée.

Mais je vous ai concocté une page "Histoire traditionnelle des Walincourt" pour rêver un peu :-).


3/ Chez l'abbé de Walincourt, m. Léon Guiot

[ajout du 13/02/2019] Quand à cette charte d' Henri II donnant le comitates à l évêque Erluin en 1007, l'abbé Léon Guiot, curé de Walincourt écrit en 1901 dans "Critique de Histoire généalogique et héraldique des seigneurs de la terre et baronnie de Walincourt en Cambrésis", publié dans  Mémoires de la Société d'Émulation de Cambrai (M.S.E.C.) tome  LV (55) du 16/012/1901, (...)
"Cette charte [de 1007] fait en effet mention expresse d'un
Adam, seigneur de Walincourt, et le nomme parmi
les descendants du comte décédé." (...)
Mais (et avec une certaine logique) pour l'avoir parcouru, aucun des pairs du Cambrésis n'y est cité.




3/  Chez O. Le Maire

La conclusion de  O. Le Maire  est simplement de dire que : 
"(...) le fait qu'un grand nombre de familles du Cambrésis [d'Audencourt, d'Avelu, de Beaurevoir, Beauvoir ou Beauvois, de Boucy, de Bouverie, Buridan, de la Folie, de Fontaine le Gobert, de Gouy, d'Haspres, de Haucourt, de Heugot, de Maizières, de Malincourt ou Mallaincourt, de Marchiennes au Pont, deMaubus, de Mauroy, de Metz en Couture, de Montigny, d'Orville, de Picart, de Prémont Perremont ou Pierremont, de Somaing sur Escaillon ], la plupart connues dès les XIè et XIIè siècles, s'enorgueillissent de descendre de la Maison de Walincourt, dont elles portaient le blason au lion, et qui avait pour cri : "Walincourt !", indique que les Walincourt avaient une origine illustre et devaient être fixés dans le cambrésis depuis une très haute antiquité". Le blason au lion est en général augmenté de brisures".
"De la famille de Haucourt seraient issues celles des Grebert et de Louvignies". 


5/ Selon Demeunick et Deveaux

[ajout du 04/05/2017] Une formule très jolie et que je vous rapporte, trouvée dans l' "Annuaire statistique du département du nord", par MM Demeunick et Deveaux, publié à Lille pour la Préfecture en 1833
"Le château du village appartenait anciennement aux comtes qui gouvernaient jadis le Cambrésis et une partie du Hainaut ; mais lorsque ce comté eut été donné  à l'évêque de Cambrai, le seigneur de Walincourt, un des descendants de ces comtes, ne voulut point le céder, et l'évêque, qui aurait eut affaire à trop forte partie, le lui céda".

Je ne peux que vous inviter à vous documenter sur l'histoire du haut moyen-âge en Lotharingie (ou France médiane), berceau des mérovingiens et carolingiens, tout à fait originale et passionnante, prise entre cultures gallo-romaine et germanique à la mort du roi Lothaire II (sont fils "naturel" Hugues n'ayant été légitimité), et les deux grandes entités voisines, "Francie occidentale" et Germanie, ancienne "Francie orientale".

Outre des sources historiques plutôt maigres et brumeuses, mais aussi archéologiques, les recherches sont ainsi à effectuer en France, Belgique, parfois Allemagne où dans des registres en cette langue ou en néerlandais. les suzerains des Walincourt étant les comtes du Hainaut (Lotharingie, Saint empire germanique), puis du Hainaut et de Flandres. Il faudra aussi accepter que les sources essentielles soient perdues si elles ont jamais existé.

Des liens pourraient être à faire avec la famille Sohier, qui possédait des fiefs que possédèrent aussi et apparemment après les Walincourt. Même famille ? Passage de fiefs de vassaux aquitano-carolingiens à des vassaux capétiens  ? Mariage par les femmes (argument avancé par les Sohier) ? Pour l'instant, avant étude et découverte de nouvelles sources, je ne saurais me prononcer n'ayant pas vraiment trouvé de passerelle convaincante, ce que rapporte Carpentier n'étant pas fiable.
Il en est de même avec la famille "Oisy-Crèvecoeur", ou des liens avec la famille de Limbourg.
On retrouve sur internet nombre d'arbres d'ascendance reliant les Walincourt avec ses trois familles, mais les preuves manquent toujours à l'appel, les généalogies des deux dernières étant déjà connues.


II - Des Walincourt

Le Cambrésis ne fut rattaché par la suite à la France qu'en 1678 (traité de Nimègue avec l'Espagne qui abandonne définitivement le comté), de 880 à 1678, le Cambrésis était un comté du royaume de Francie orientale, puis du Saint-Empire romain germanique.
La terre de Walincourt elle-même était vassale du comté de Hainaut (pour une raison inconnue) et ses seigneurs, pairs de ce comté.
En 945, le roy Henri Ier donna la ville (par "immunité") à l'évêché de Cambrai-Arras, puis se fut tout le comté en 1007. Les seigneurs du comté durent prêter allégeance à l'évêque Erluin pour leurs terres locales. Les Walincourt étaient en outre pairs de Cambrésis par la possession de Prémont (à la frontière avec le comté de Vermandois).

Plusieurs évènements furent à noter :



Le mariage d'Adam III avec Mabille, dame d'Yprès et de Bailleul qui en fit le châtelain de ces deux colonies, et son décès en 1218.


Le passage dans la famille de Dours (bourg situé en Belgique) des terres des Walincourt en 1244, qui utilisera ce nom plus souvent que le sien, avec le décès de Baudouin Buridan, par sa fille Joye de Walincourt

Les Fontaine de Resbecq descendent d'une branche puîné de la première famille des seigneurs de Walincourt, du nom de l'un de leurs fiefs donné en apanage à Pierre, Fontaine-lèz-Gobert (Fontaine-au-pire, aujourd'hui), situé sur l'ancienne route reliant Cambrai à Cateau-Cambrésis, ceci confirmé par une charte de 1229 (selon Le Carpentier) et par son sceau, variations du blason familial. Son fils Gilles Ier lui est attesté par une charte de 1290. [5]
Les blasons des familles d'Oisy, Haucourt et Walincourt ne valent pas référence : leur utilisation ne peut être antérieur à 1146 (premier sceau armorié connu de Raoul Ier de Vermandois).
Le premier sceau armorié d'un Walincourt date de 1207 est celui d'Adam. [5][6] Auparavant les sceaux équestres de celui-ci, à partir de 1177 portaient un écu sans emblème.


II - Arbre de filiation des Walincourt aux Fontaine de Resbecq, arbre généalogique des seconds

 

Blason ancien des Walincourt,
et de la ville av. 1972 : "d'argent au lion de gueules".

 

1. N de WALINCOURT
 Seigneur de Walincourt, et d'autres fiefs.
  • La pairie de Walincourt est fondée en 983/986 par l'empereur romain germanique.
  • Selon Le Carpentier (donc à prendre avec des pincettes) les seigneurs de Walincourt sont sommés de prêter allégeance au comte-évêque de Cambrai en 1007. 


 2. Adam Ier de WALINCOURT v.1025 (?) à v.1110 & Philiberte WAUTHIER
Chevalier, Pair du Hainaut & du Cambrésis, seigneur de Wallincourt, de Fontaine-lès-Gobert, de Beauvoir, de Sequehart...etc...
  •  Le Carpentier cite une charte de paix entre l' évêque-comte Liebert et le châtelain de Cambrai datée de 1065, mais qui selon N. Ruffini-Ronzani a toutes les chances d'être un faux (témoins anachroniques, sceau peut adapté, et mauvaise réputation de l'auteur).
  • Selon une source de O. Le Marie à confirmer, en 1093, le sire de Walincourt fit réparer son château. [3] Mais des études récentes n'en font pas mention.
  • D'autres chevaliers de Wallincourt sont cités dans des chartes citée par Le Carpentier de cette époque, comme Godefroi. 
 Dont : Jean (qui suit), Ameline & Gilles d'ESCAILLON, Cunégonde & N. d'ARGEMONT. 

 
3.1. Jehan Ier de WALLAINCOURT av. 1100 + av. 1150 & Jeanne VAN GORP

 Chevalier, Pair du Hainaut & du Cambrésis, seigneur de Walincourt, de Fontaine-lès-Gobert, ...etc... 1er Walincourt "historique".
  • Cité en 1111, Jean de Walincourt (Walencurt) est témoin, en tant qu’homme de l’abbaye Saint-Vaast d’Arras (Atrebati), d’un acte de Baudouin VII, comte de Flandre, dans lequel ce dernier définit les droits des moines sur le tonlieu d’Arras. [6]
  • Cité en 1123 comme témoin d'une charte du comte Charles le bon. [6]
  • Qualifié de "Miles" dans un titre de l'abbaye de Saint-Aubert (1124). [4]
Dont : Adam II [1](qui suit), Mathieu [1] (qui suit), 
Gilles (ou Gillon de Maubus, mais non rerouvé dans les sources) qui aurait donné plus tard la famille Mauboeuf, Ide & Ravel de BOURNONVILLE (petit-fils naturel du roi Guillaume d'Angleterre par sa mère Sylvie), Antoine (religieux), Aldesunde & Hughes de HERTAING + 1164.[8]


3.2. Baudouin de WALLAINCOURT

 Chevalier
  • Cité comme témoin dans un acte du 6 décembre 1124 [6]

4.1. Adam II de WALINCOURT
Seigneur de Wallincourt, Premont, pair du Hainaut et de Cambrésis.
  • Selon Gislebert de Mons, chancelier de Baudouin V (comte de Hainaut (1171-1195)) : Adam vivait et faisait parti de la cour du comte Baudouin IV de Hainaut (1125-1171). [3]
  • Cité vers 1150 dans un acte de Adam, abbé de Saint-André du Cateau (Novo Castello) qui notifie un accord intervenu entre son abbaye et Alard, chevalier de Prémont (Petroso Monte), "en présence d' Adam, fils de Jean de Walincourt". [6]
  • Cité dans des chartes de 1138, 1158 d'actes du comte Baudouin IV de Hainaut.  [6]
  • Témoin avec son frère Mathieu,  d'une charte de Nicolas, évêque de Cambrai en 1147.[6]
  • 1160, Cité dans un acte de l' évêque Nicolas avec le Châtelain Simon que les frères de Saint-Lazare avaient acquis une terre sise à Masnières.[6]
  • Cité dans un acte de 1165 du châtelain Simon et son épouse Ade qui exempt l'ordre de Cîteaux de droits de péage, de winage et de tutes redevances sur leurs terres. [6]
  • 1170-74, témoin avec ses fils Bauduoin et Mathieu d'un acte de Gilles de Saint-Aubert. [6]
  • 1177 Avec son épouse Joie et leurs fils Baudouin et Mathieu, exemptent l'abbaye ND de Vaucelles de tous droits de passage et de vinage sur leurs terres. [6]
 
 dont : Baudouin sr de Walincourt [6] (qui suit), Mathieu (qui suit) [6], Pierre (qui suit ensuite),  Allart sr de Montigny , Gérard sr de Mauminghis, Richilde & Sifride de HANGEST, Renée & Hughes de LIGNE. [8]


4.2. Mathieu de WALINCOURT + 1205 (Andrinopole actuelle Edirne en Turquie)
Chevalier.
  • Témoin avec son frère Adam,  d'une charte de Nicolas, évêque de Cambrai en 1147. [6]
  • Témoin en 1170 d'un acte de Pierre, élu de Cambrai, que châtelain Simon d'Oisy, son épouse Ade, son fils Hugues, et l'épouse de celui-ci Gertrude, on donné un bois  situé entre le grand bois de Vaucelles et l'essart de Bracheul. [6]
  • Se serait lui qui aurait jouté contre Guillaume le Maréchal, "le meilleur chevalier au monde" (1146-1219) au tournoi d'Eu en Normandie, où il perdit par deux fois son cheval contre Guillaume. Selon le texte de "l'Histoire de Guillaume le Maréchal" rédigé peu après sa mort (sur demande de son fils), Mathieu avait "jadis" gagné contre le chevalier anglais. celui-ci ne lui rendit pas son cheval, puisque Mathieu à l'époque avait fait pareil [tome 3, p. 42-43].
  • Aurait participé à la 3è (1190) et à la 4è croisade (1201) et serait resté à la cour de Baudouin Ier après la conquête de Constantinople.  
  • Serait parmi les 300 chevaliers de l' empire latin de Constatinople, dirigé par Bauduin Ier (Baudouin IX de Flandres et Bauduoin VI de Hainaut) tombés durant la bataille les opposants aux Bulgares dirigés par le Tasar Kalojan à la bataille d' Andrinople le 14 avril 1205 (actuelle Edirne en Turquie européenne). Voir la "Chronique de Gérard de Ville-Hardouin" (maréchal de Champagne et de Romanie), pages 135, 137 et 141 (sa mort), "Mahuis de Vaslencort".


5.1. Baudouin "Buridan" ou "le varlet" de WALINCOURT v. 1178 - 1202
Chevalier, Pair du Hainaut (puis de Flandres à partir de 1191 [baudouin V de Hainaut devenu Baudouin VIII de flandres] ?) & du Cambrésis, seigneur de Wallincourt (?), Prémont, Beaurevoir, Sequehart, Déshéries, etc... croisé ?
  • Cité dans une charte comme père de Baudouin Buridan. [6]
dont : Adam et Buridan (qui suivent)


5.2. Mathieu de WALINCOURT dit de Prémont + 1205 à Andrinople & Jeanne Chevalier, pair du Cambrésis
  •  Il apparaît comme témoin et pair de Cambrésis (pour Prémont ?) dans un acte de "déguerpissement" d'un fief d'Arnoul de Landas auprès de Jean d'Esnes en 1201.
  •  Croisé (aurait participé à la 3è croisade 1190 et à la 4è croisade en 1202).

dont : ?


6.1. Adam III "le diable" de WALINCOURT +1218 &  Isabelle (Mabille) d' YPRES et de BAILLEUL+
Chevalier, châtelain d'Yprès et de Bailleul (par son mariage), Pair du Hainaut (et de Flandres ?) & du Cambrésis (?), seigneur de Wallincourt, Sequehart, Déshéries, etc...
  • Cité en 1202 comme seigneur de Walincourt où il approuve une donation à ND de Cantimpré faite par Hugues Furniers, chevalier sur la dîme qu' il tenait en fief à Herin (Heries). [6]
  • 1203, cité avec son frère Baudouin dans un acte de Gilles, châtelain de Beaumetz. [6]
  • 1207-08, renonce, avec l'approbation de sa femme Mabille et de son frère Baudouin à tous ses droits or avouerie et justice, sur la terre de Yries que son vassal Adam, chevalier de Caudry (Caudari), et son épouse Élisabeth ont cédée à l’abbaye Notre-Dame de Cantimpré. Baudouin figure comme témoin. [6]
  • 1209, témoin avec son frère Baudouin Buridan, d’un acte de l’évêque Jean III de Cambrai. [6]
  • en 1215, Adam, seigneur de Walincourt (Wallaincort), s’engage, pour lui et ses héritiers, à respecter et à garantir les droits de l’abbaye Saint-Aubert de Cambrai sur les bois de Salesches (Senlesches) et sur d’autres bois, à propos desquels les chanoines ont démonté leurs droits en présence d’Adam, de son frère Baudouin Buridan et d’autres hommes. [6]
  • 1217, Adam, seigneur de Walincourt (Wallencurt), châtelain d’Ypres (Iprensis) et de Bailleul (Belloliensis), et son épouse Mabille notifient l’accord précédent conclu en faveur de l’abbaye Sainte-Rictrude de Marchiennes (Marcianensem). Baudouin Buridan, frère d’Adam, est témoin de l’acte.  [6]
  • 1218 Adam, seigneur de Walincourt (Waulaincort), châtelain d’Ypres et de Bailleul, et son épouse Mabille fondent  chapître de léglise Saint-Pierre de Walincourt composée de  six chanoines à qui ils cèdent l’ensemble de leurs dîmes, à savoir celles de Walincourt, Malincourt, Senancourt, Selvigny, Rambaucourt, de La Conte et, enfin, celle d’Ypres qu’ils tenaient à cens du chapitre Saint-Donatien de Bruges. Ils déterminent en outre le mode de vie auquel devront se conformer les chanoines. [6] Leur dépouilles y reposeront désormais.
      
Sans postérité.  Mabille, dame d'Yprès et de Bailleul, à son décès, épouse le fils aîné du comte de Rethel, Hugues (Vermandois)).

6.2. Baudouin "Buridan" de WALINCOURT + 1244 & Avissia Chevalier, Pair du Hainaut & du Cambrésis, seigneur de Beauvoir (Belvoir) puis seigneur de Wallincourt (sûrement à partir de 1218), Sequehart, etc...
  • 1203, cité avec son frère Adam dans un acte de Gilles, châtelain de Beaumetz. [6]
  • 1209, témoin avec son frère Adam, d’un acte de l’évêque Jean III de Cambrai. [6]
  • 1218 Baudouin Buridan, seigneur de Walincourt (Walleincort), confirme au chapitre Saint-Pierre de Walincourt la possession de toutes les dîmes jadis cédées par son défunt frère, Adam, seigneur de Walincourt. [6]
Dont : Joie de Walincourt qui épousa Nicolas de Dours (mort avant 1236) . La terre de Walincourt passa à cette famille. [6]



Branche des seigneurs de FONTAINE, FONTAINE-LE-GOBERT



Blason de Gilles Ier de Wallincourt, seigneur de Fontaine-le-Gobert selon une charte de 1290


7.3. Pierre de WALINCOURT, seigneur de FONTAINE-LE-GOBERT & ?? [4]

Chevalier, seigneur de Fontaine-lès-Gobert.
  • Il a transmis sa seigneurie à ses descendants qui prirent le nom de "Fontaine les Gobert" puis de "Fontaine" en deux générations [4]. Je ne l'appelle "Walincourt" que parce que juridiquement décrit comme puîné des Walincourt en 1769. [7]
  • Le Carpentier, parle d'une charte le citant en 1229 mais je ne l'ai pas trouvé pour le moment. selon celui-ci, Pierre aurait porté "un lion, un lambel et une bordure", ce qui est douteux au vu du blason de son fils, Gilles Ier. [4]
Dont : Guy (+), Anselme (+), Gilles (qui suit).[4][7]



8. Gilles Ier, seigneur de Fontaine-le-Gobert [4][7]
Ecuyer, seigneur de Fontaine-les-Gobert et du Buisson 
  • Charte attestée de 1290 où Gilles porte "un lion à la bordure engrêlée". [5]
Dont : N... dont la postérité se serait fondue avec celle des HAUCOURT-LESDAIN qui possédaient Fontaine-les-Gobert au XVè siècle, et Gilles (qui suit). [4]



9. Gilles II de FONTAINE
Chevalier 
  • Qualifié de chevalier dans son testament par le gouverneur du château d'Oisy, Mathieu SOHIER) en 1324 [4].
  •  Il y aurait eu selon Le Carpentier un autre Gilles avant, mais je n'en ai pas trouvé de trace.
  • J'aurai tendance à penser que se serait lui qui aurait adopté les armes parlantes, le lion était lié à la seigneurie de Fontaine-les-Gobert, village qui conserva le blason jusqu'au XVIIIè siècle pour changer pour celui de la famille de Francqueville.
Dont : Jean, qui suit.

https://2.bp.blogspot.com/-G15Kq15RN2U/Vw0RmGnfP4I/AAAAAAAABx8/R_sTtr03ALcT5XxomXDgWHqqaDoYxrzagCLcB/s1600/DeFontaine.gif
Blason des Fontaine à partir du 2è Gilles de Fontaine, 
selon Le Carpentier et leur acte d' admission à l'assemblée de la noblesse à Lille en 1769.



10. Jean Ier de FONTAINE dit "le flamand" & Emilie [7]
Chevalier
  • Mentionné ainsi que son épouse dans le nécrologe de l'abbaye de Prémy.
Dont : Jean (qui suit).


11. Jean II de FONTAINE [7]
Ecuyer
  • Cité parmi les hommes de fief de l'église Saint-Aubert de Cambray par son bailli COLSA-GUERRIER le 21/06/1445 (à vérifier).
Dont : Thomas (qui suit).


12. Thomas de FONTAINE & Catherine de la FONTAINE-WICART [7]
Ecuyer
Dont :  Jean (qui suit), Thomas de FONTAINE , marié en 1è noces à Jeanne d'ABLAING puis à Jeanne RESTEAU.


13. Jean III de FONTAINE 1500 &  Catherine d'ABLAING [7]
Dont : Jean (qui suit).


14. Jean IV de FONTAINE v.1525 à Cambrai & Anne (ou Jeanne) HOOFTMANS
[7] (l'épouse est improbable, faisant confondre avec des homonymes des Province-Unies du 17è siècle)
Dont : Andrieu (qui suit).


15. Andrieu  de  FONTAINE v. 1545 + 1598 à Cambrai & N. LE MAIRE
[7]
Dont : Jérôme (qui suit), Anne de FONTAINE & Jean de BARALLE.





16. Jérôme de FONTAINE 1575 à Anvers + 6/03/1623 & 1/ Claire PEZIN & 2/ le 05/05/1618 Marie MUETTE (veuve de Jan van AKERT).[7]
Ecuyer,  Elu échevin de Lille en 1615.
  • Installé à Lille après son veuvage où il reçut des "lettres de bourgeoisie".
Dont : de Claire PEZIN : Jérôme dont un rameau éteint en 2 générations, Hubert (qui suit), Martin marié à Catherine Le PIPPRE ; et de Marie MUETTE : Jean, mort sans alliance.


17. Hubert de FONTAINE B17/08/1603 +16/03/1679 & 03/10/1630 Marguerite ROBERT 5/02/1590 [7]
Bourgeois de Lille par "relief" de 1633

Dont : Jacques (qui suit).




18. Jacques de FONTAINE 1633-1705 & Marie-Anne FASSE + 1727. [7]
Ecuyer, seigneur du Manduez. 
  • Leurs armoiries étaient gravées sur leur tombe dans l'église paroissiale de Saint-Maurice, à Lille (à vérifier). Aurait donc porté les armes parlantes, "d'azur à la fontaine d'or".
Dont : Gilles (qui suit), Jacques sr de Thullu +, Ignace seigneur de Thieffries +, Robert-François, seigneur de Manduez, mort après 1765.



19. Gilles III de FONTAINE 1692-1751 & MARIE-BARBE MARISAL+1773
[7]
Ecuyer, seigneur des Sarteaux, de Thieffries, etc, conseiller du roi, procureur-syndic de la ville de Lille.

Dont : 1. Gilles (qui suit), 2. Augustin (auteur de la branche des F. de Resbecq, sr de Resbecq), 3. Ignace (+1762, qui suit), 4.Marie-anne & B. Pierre de MANGIN de FONDRAGON, 5. Marie-Louise & Louis CASTELLAIN, Marie-Barbe +, Marie-Claire +, Thérèse (prieure des dames de l'Abbiette à Lille), Philippine +.

 
20.1. Gilles IV de FONTAINE 1733 & 1765 Marie-Anne MOUCQUE des MASURES.
[7]
Chevalier, seigneur de Liévin, d'Oréaulmont, de la Montagne, de Maubuisson, de Maugré, de Santes, etc... Trésorier de France au bureau des finances de la généralité de Lille.
  • Admission à l'assemblé de la noblesse du 16 mars 1769, avec pour blason : "de gueules au lion d'argent, parti d'azur à la fontaine d'or, le tout bordé d'or" (à vérifier pour le blason).
Dont : 1.Gilles +, 2.Louis (qui suit), 3.Benjamin (qui suit après Louis), 4.Catherine (14/01/1766-1800) & Théodose de FONTAINE  de RESBECQ (son cousin), 5.Sophie & au Vte Alexandre- Louis de Clermont-Tonnerre, 6.Mélanie +.


20.2. Augustin de FONTAINE de RESBESQ [7]
voir à la suite "branche de F. de RESBECQ".


Armes des Fontaine de Resbecq
(à parir de 1769)


20.3. Ignace, Thomas, Joseph de FONTAINE + 1762 à Saint-Domingue

[7]
Officier du régiment du Quercy.


21.1. Louis Alexandre de FONTAINE 29/031772 - + Angleterre & Anna POOLE 
[7]
Ecuyer
  • émigré en 1791, servit dans "l'armée des princes", puis dans l'armée anglaise.

21.2. Benjamin Eugène de FONTAINE + [7]

   

Branche des Seigneurs de Resbecq

Armes des Fontaine de Resbecq
(à parir de 1769)


Elle a pour auteur : 


20. Augustin Jospeh Jérôme de FONTAINE de RESBECQ Lille 21/12/1734 + 19/06/1796 & 1762 Marie-Amélie van HOVE Lille 22/06/1745 - Lille 1815
[7]
Ecuyer, seigneur de Resbecq, de Thieffries, etc...
  • Admission à l'assemblé de la noblesse du 16 mars 1769, avec pour blason : "de gueules au lion d'argent, parti d'azur à la fontaine d'or, le tout bordé d'or" (à vérifier pour le blason et son époque de réalisation).
Dont : Barbe-Amélie (1763) & P. CRENDAL de la TOURRE, Jérôme 1764, Dominique 1768, Théodose (qui suit), Marie (1772), Alexandrine (1774), Marie-Caroline (1783) & M. Ec. de SARS de BRAISME, Eleonore & M. JULLIOT de la ROUVRELLE.


21. Théodose de FONTAINE de RESBECQ Lille 1770 & 1798 Catherine de FONTAINE (1766-15/071800) & Marie de l'EGLISE Guines 1788
Dont : de Catherine : Charles (1799-1800). de Marie : Adolphe (Charles, Théodose), qui suit.


22. Comte Adolphe de FONTAINE de RESBECQ Fives 03/04/1813-07/01/1865 & 1837 Angéline Le BAS de SAINTE-CROIX 20/06/1809 - Beuzeval (Calvados) 28/08/1882

Comte, Sous-chef au ministère de l'Instruction publique et des cultes.
  • Auteur notamment de : "Les contes en voyages, ou une histoire par relais", 32 feuillets avec textes illustrés en couleur 1832 ainsi que de "Alger et les côtes d'Afrique" paru en 1837 (vous pouvez consulter l'ouvrage dans la rubrique "lien" du blog), "L'arbre de la liberté" (1848), "Voyage littéraire sur les quais de Paris" (1857), "Charles ou un voyage comme récompense" (1864), ainsi que d'autres ouvrages et textes dont la liste est consultable sur le site de la BNF, Gallica.
Dont : Eugène, Ange-Léonce, Hubert (qui suivent), Geneviève (19/021846) & Vte A.de BURGUES de MISSIESSY.


23.1. Comte Eugène de FONTAINE DE RESBECQ 22/11/1837-21/01/1902 & Tours 1864 Marie-René du BREUIL HELION de la GUERONNIERE Saint-Maurice (80)07/06/1841
Sous-chef de cabinet du ministre de l'Instruction publique.

  • Auteur de : "La grande chartreuse" (1859), "Histoire de l'abbaye royale de Faremoutier",  "Histoire de l'enseignement primaire avant 1789 dans les communes qui ont formé le département du nord" (av.1878).
Dont : Agathe & A. POTIRON de BOISFEURY, Gonzague +, Pierre, Gilles Hilaire (qui suivent)


23.2. Vicomte Ange-Léonce de FONTAINE de RESBECQ 06/04/1840 & Cosqueville 05/01/1859 Marie-Thérèse d'ESPINOSES
procureur de la République à Poitiers.


Dont : Christian (1875), Robert, Eric (1878), Yvonne (1878), Marguerite 1881-1899, Yvan (1883), Frédéric 30/01/1885 (qui suit), Xavier (1889), René 1891, Marie. Voir cette branche qui suit après.


23.3. Hubert de FONTAINE de RESBECQ &
Haut-fonctionnaire, attaché au ministère de la marine,
  • Chev. Légion d'Honneur (1885).
Dont : ??

Comte Pierre de Fontaine de Resbecq
en tenue de hussard.

Lignée du Comte Eugène

23.1.1. Comte Pierre de FONTAINE de RESBECQ 03/11/1866 & 1895 Louise OUDOT de BAINVILLE
Capitaine de réserve de l'infanterie
  • Chevalier de la Légion d'honneur (1923)
Dont : d'où descendance.


23.1.2. Vicomte Gilles Arthur Hilaire de FONTAINE de RESBECQ  14/04/1870 & Orléans (Loiret) 1900 Madeleine RENARD

Dont : 1. Anne (12/12/1901-1980) & Bernard de PARSEVAL (1898-1973 ) d'où postérité, 
 2. Elisabeth (1911-2009) & Baron Jacques DUCHAUSSOY DELCAMBRE de CHAMPVERT (1905-1996) d'où descendance (voir la page de la famille).


Lignée du Vicomte Ange-Léonce


23.2.1. Vicomte Christian de FONTAINE de RESBECQ Poitiers 03/03/1875-1943 & Adeline DEPETRIS 1891-1925 & Anna SPINELLA (1905-1994).
Capitaine d'infanterie, Commis titulaire aux messageries maritimes de Marseille.
  •  Chev. Légion d'honneur en 1933.

Dont : ??.


23.2.2. Robert de FONTAINE de RESBECQ 06/12/1876-15/08/1963 & Marie PIERRON Rethel (08) 1873.
Avocat à Lisieux.

Dont : Frédéric.

23.2.3. Yvan de FONTAINE de RESBECQ  1883
Dont : ?


23.2.4. Frédéric de FONTAINE de RESBECQ 30/01/1885 & Antoinette PAYS 08/09/1884 (voir Alonze d'Espinose).

Dont : Olivier, Ivan-Bernard (qui suivent).


23.2.5.Xavier de FONTAINE de RESBECQ 1889 &
Dont :  ?

23.2.6.René de FONTAINE de RESBECQ Valognes (50) 1891 - 28/12/1915   
Sous-Lieutenant 19ème régiment d'infanterie,
  • chev. Légion d'Honneur 1915 (décret de 1918),
  • Croix de guerre 14-18 avec palme.


Descendance du Vicomte Frédéric de FONTAINE de RESBECQ

23.2.4.1. Vicomte Olivier de FONTAINE de RESBECQ Paris 22/05/1924 - Paris 17/05/2007 & Loison (53) 25/05/1956 Jacqueline ROGER Versailles 1923 - Le Mans 2000.
Dont : Pascale (née à Versailles, + 21/10/2010), inhumée à Cosqueville (Manche).

23.2.4.2. Vicomte Ivan-Bernard de FONTAINE de RESBECQ Cosqueville (Manche) 10/06/1927 - 11/02/2013 & Saint-Cloud 14/01/1956 Brigitte PAGNIEZ Roubaix (Nord) 21/12/1931
Notaire, maire de Martigné-Ferchaud (1967-1977) et de Cosqueville. Inhumée à Cosqueville.
Dont : Frédéric, Patrice, Laurence-Diane & Philippe BOYER, Fabienne F de R. & Daniel BARRIAL du BREUIL+, Ségolène. 


24.2.4.2.1. Frédéric de FONTAINE de RESBECQ Cherbourg (Manche) 21/11/1956 & Laurence KINE






Sources, notamment médiévales :  
  • [1] Chronique d'Arras et de Cambray par Baldéric, chantre de Térouane au XIè siècle, traduite en français par MM Favfrot et Petit.
  • [2] Abbé Léon Guiot : Histoire générale de Walincourt - Mémoires de la Société d'émulation de Cambrai, 1900 - T.54
  • [3] Etudes historiques dédiées à la mémoire de Roger  Rodière, Arras 1947 (collectif), particulèrement l'article de m. Le Maire.
  • [4] Histoire générale de Cambray et du Cambrésis, J. Le Carpentier, v. 1664. 
  • [5] Inventaire des sceaux de Flandres, par A. Demay, 1871.
  • [6] Chartes historiques "regestes", compilées en 2014.
  • [7] Lettre d'admission à l'assemblée de la noblesse des fontaine de Resbecq, fait à Lille en 1769.
  • [8] Armorial de la noblesse de France (extrait), sous la direction de M. d'Auriac, Paris 1856.
  • [9] Histoire de Cambrai et du Cambrésie, E. Bouly de Lesdain, 1841.